Story of Kratos El Dolce

On raconte que Kratos El Dolce n’est pas né : il a simplement apparu un matin, au milieu d’un champ de cadavres et d’insultes, avec une armure tachée de sang et un sourire qu’on ne retrouve que chez les fous… ou les artistes. Il ne combat pas pour la gloire — trop vulgaire. Pas pour l’or — trop lourd. Non, Kratos El Dolce tue par principe esthétique. Un coup d’épée bien placé, c’est une œuvre d’art. Une décapitation propre, c’est du Michel-Ange. Et quand il fait exploser ton crâne en PvP, il murmure un petit “C’est pas toi, c’est ton skill.” On le dit cinglé. Lui préfère “lucide”. Car dans ce monde de brutes, il a compris que la vraie survie, c’est de rire pendant qu’on crame. Quand un adversaire le traite de monstre, il répond calmement : “Monstre, peut-être. Mais regarde le scoreboard, monstre MVP.” Son credo ? “La violence, c’est comme le café. Si c’est pas fort, ça sert à rien.” Personne ne sait combien de fois il est mort, ni combien il en a enterré. Certains disent qu’il a un pacte avec la Mort. D’autres pensent qu’il est la Mort, mais avec un sens de l’humour douteux et un penchant pour les punchlines. Une chose est sûre : quand tu vois apparaître “Kratos El Dolce” dans ton log de mort, tu ne te dis pas “pas de chance”. Tu te dis : “Oh non… pas lui.”